Michel Jean – Juin 2017

Michel Jean – Juin 2017

Michel Jean

Que dire de Michel Jean: peintre, sculpteur (bois, bronze, métal, composite, voir plus si affinité..), navigateur, amateur de vins naturels ….

Michel Jean – dit MIMI – un ami de 30 ans (un vrai!), un artiste à l’ancienne dont le site Web reste inaccessible depuis plusieurs mois, sans grand espoir de retour à la normale…

 

 

A coup sûr une personnalité que nous vous encourageons à rencontrer lors du vernissage!

Il nous présente des sculptures en bronze et en matériau composite.

 

 

 

Pas de site Web !

Florence Barbéris – Juin 2017

Florence Barbéris – Juin 2017

des traits jetés, gommés, griffés, grattés

de nouveaux traits

de nouvelles histoires qui se mêlent, s’enchevêtrent, s’éloignent, réapparaissent à un moment, à un endroit, on ne sait pourquoi

ne font plus qu’une

puis une autre histoire s’ajoute ou disparaît

travail sur le temps, dans le temps, avec des attentes, des allers et venues, des attentes encore, des doutes, souvent, quelquefois des lueurs d’évidence

tout se trouve inscrit dans ces traces, dans ces strates, dans cette mémoire du temps

toujours les mêmes obsessions, à des époques différentes, avec des moyens différents

mais je sens que cette quête fondamentale, la plus intime, la plus sincère, la plus indéfinissable aussi reste éternelle même si elle prend des expressions nouvelles

 

Née en 1964, vit et travaille à Aubais depuis 1997.
Livres d’artiste, éditions Cadex, Encre et Lumière, atelier di Palma.
Décors de théâtre, scène nationale du Cratère, Alès.
Comité d’organisation des Graveurs du Sud depuis 2005.
Co-fondatrice en avril 2008 de l’association SUDestampe organisatrice
de la biennale de l’estampe sur Nîmes et sa région.
Interventions en milieu scolaire, en médiathèque, dans des musées.
Anime cours et stage de gravure à l’atelier et à l’étranger.

 

Site Web

Paule Riché – Juin 2017

Paule Riché – Juin 2017

La peinture de Paule Riché s’inscrit à la fois dans la tradition chinoise du papier de riz et de l’encre de Chine et en même temps dans la continuité du courant d’abstraction lyrique issu de l’expressionnisme américain: elle est en quelque sorte au croisement de Zao Wou Khi et de Joan Mitchell.

Pour elle, tout a commencé avec les nymphéas de Claude Monet : choc émotionnel à l’adolescence, puis logiquement, les Beaux arts à Paris, et les expérimentations plastiques (diplôme de sculptures, collage, peinture acrylique…) pour enfin arriver à l’encre de Chine. Cette technique laisse une part non négligeable au hasard et surtout exige une gestuelle et une concentration certaine.

C’est autour de cette gestuelle et de cette concentration que s’organise la recherche de Paule Riché depuis plus de 20 ans. La simplicité des matériaux, leur rusticité est compensée par une technique faite de tâtonnements et d’expérimentations successives.


Paule Riché le grand format « Kakemono » est le moyen de garder au geste son amplitude et de donner à l’oeuvre une verticalité qui prend alors une valeur symbolique : l’œuvre s’élève et elle élève l’homme, c’est du moins le vœu le plus cher de l’artiste.

Cette « élévation » trouve son accomplissement dans les nombreuses résidences qu’elle fait dans des lieux de patrimoine, lieux d’histoire en particulier manière très proche l’Orient et l’Occident.

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